Les motifs de ce recours sont :
- l’absence de concertation préalable à l’appel d’offre (article L 103-2 du Code de l’urbanisme)
- la distorsion de concurrence
Le décret plage oblige à raser les établissements actuels pour en reconstruire de nouveaux, démontables chaque année, pour un investissement pouvant varier entre 100.000 et 700.000 €.
A quoi s’ajouteront des redevances plus que doublées.
« Ce modèle économique n’est pas viable. La pérennité des établissements de la plage, clubs de voile, clubs d’enfants et restaurants, est en cause. Nous ne les laisserons pas disparaître. » Soulignent les représentants de l’association.
Le délai de recours est au 26 février 2017, et l'association décidera s’il convient d’assortir ce recours d’un référé suspension.
Pendant ce temps, les négociations avec l’Etat, Véolia et la Mairie de La Baule se poursuivent.
Le 28/07/2020 par ALEX KOVALEV dans
La Baule : Uber Eats installe l’esclavage des temps modernes
Le 10/04/2020 par Docteur bon conseil dans
La Baule : un plan de soutien au commerce
Le 09/04/2020 par Candidat dans
La Baule : un plan de soutien au commerce
Le 25/06/2019 par MARTY Béatrice dans
La Baule : Le décret plage est-il le même pour tout le monde ?
La Baule Infos : Flux RSS | Newsletter | Favoris | Plan du site | Galeries photos | Liens | Contact
Réseau Media Web :
Saint Nazaire | Pornichet | Le Pouliguen | Le Croisic | Batz Sur Mer | Guérande | La Turballe | Saint Brevin | Angers | Nantes | Brest