La députée de la 7e circonscription de Loire-Atlantique explique dans un communiqué que suite à sa plainte de juillet 2020 un juge d’instruction vient d’être nommé.

Sandrine Josso députée de Loire-Atlantique

 " Pendant que certains dinosaures de la politique locale se permettent de donner des leçons ils feraient mieux de BALAYER devant leur porte. 

Je fais l'objet de METHODES parfaitement RODÉES qui portent atteinte à ma crédibilité d’élue, mais aussi de femme et de maman et cela depuis leur défaite de 2017. 

J'ai décidé de siffler LA FIN DE LA RÉCRÉE par l'intermédiaire de mon avocat pour poser un ACTE SYMBOLIQUE au tribunal de Nanterre spécialisé dans le droit de la presse et la communication audiovisuelle. 

Pour se faire un juge d'instruction a été nommé en janvier. 

Mon avocat a déposé plainte avec constitution de partie civile envers un citoyen chargé d'un mandat public, en vertu de la loi du 29 juillet 1881 portant sur la liberté de la presse, ainsi que celle sur la communication audiovisuelle (loi du 29 juillet 1982). 

Les risques encourus par l'auteur et ses complices est une amende de 12 000 euros. 

Le juge d'instruction a pris connaissance par l'intermédiaire de mon avocat que je subis un préjudice considérable du fait des propos injurieux proférés à mon encontre publiquement. . Les invectives dont j'ai été la cible, sans aucune précaution de langage ni nuance, altèrent gravement ma réputation auprès des habitants de sa circonscription en Loire-Atlantique et de mon entourage. 

De surcroît, il convient de souligner le caractère particulièrement dégradant et humiliant des injures proférées par le dénommé "…", qui laissent entendre – sans aucun fondement – que mon mandat serait illégitime, faisant ici certainement référence au fait que je suis issue de la société « civile ». 

Les propos litigieux sont d’autant plus attentatoires à l’honneur et à la considération que mon engagement politique et citoyen est ancien et démontrent – si besoin en était – que j'ai toujours assumé les responsabilités publiques qui ont été les miennes depuis mes fonctions de conseillère municipale. 

Atteinte gravement dans mon honneur et ma réputation, il est manifeste que je subis un PRÉJUDICE MORAL qui doit être RECONNU et dont il convient que J 'OBTIENNE RÉPARATION "

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